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La question qui fait tout basculer

  • Photo du rédacteur: Bonny Coulombe
    Bonny Coulombe
  • 16 juil.
  • 1 min de lecture

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Parce que dans les cas sensibles, même les meilleures questions ne suffisent plus.


Biais,

Loyauté cachée,

Influences externes.


Et ce qui semblait logique ne tient plus debout.


Tu veux vraiment aider ton client à prendre une décision claire ?


Alors il faut aller au-delà des réponses bien formulées.


Identifier ce qui trouble sa perception.


Comprendre qui oriente ses choix, consciemment ou non.


Et surtout, l’amener à voir ce qu’il ne dit pas… ou ce qu’il refuse de s’avouer.


Exemple :


Un dirigeant veut congédier un cadre jugé "trop passif".


Mais quand on creuse… ce n’est pas clair.


Pas de plainte.

Pas de fait solide.

Juste une impression négative, partagée par un seul membre du CA.

Ce même membre qui, par hasard, est en conflit d’intérêts avec ce cadre depuis des années.


Alors on pose les vraies questions :


Faits ou ressentis ?


Qui a lancé l’idée ?


Quel est le vrai risque si ce cadre reste ?


Et si cette décision n’était pas vraiment la sienne ?



L’influence venait de là.


Le dirigeant ne la voyait même plus. Une fois ce filtre supprimé, la vision a changé et la décision aussi.

 
 
 

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